Ce texte est issu d’une conversation dans la forêt. Il a pour auteur les sapins austères et les fougères lumineuses. Il y est question, mieux que dans un salon, de nos manières de vivre, c’est-à -dire de perdre. Le nom merveilleux de cette perte est la poésie – ou si l’on veut : l’humain.
Christian Bobin