Ce texte a surgi en moi un matin bleu de douleur du monde. Saisi par l’urgence d’écrire le manifeste d’un parti poétique et humaniste, la nécessité presque vitale d’énoncer, afin de juxtaposer à la fatalité la résistance à la fatalité, j’ai tressé ce bouquet de mots, peut-être pour réunir nos solitudes et nous rappeler, qu’il y a et qu’il y aura toujours quelque chose. Quelque chose à sauver.
Marc Alexandre Oho Bambe